© OTGVL
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Vaux-sur-Lunain
Ce village s’étend sur le flanc d’une colline entourée de bois.
Ici, coule le Lunain qui traverse le bourg avant de disparaître pour ne réapparaître qu’à Lorrez-le-Bocage. Jusqu’à la révolution, le village dépend de l’abbaye de Villechasson.
L’église dédiée à Saint-Gengoult, a certainement été reconstruite au XVIIème siècle sur les ruines d’une église plus vaste. Cependant, son clocher en bulbe présente une architecture inhabituelle pour la région. On y trouve, entre autre, un plâtre du XIXème siècle représentant Saint-Martin à cheval.
La fontaine Saint-Gengoult date de 1618. Elle est réputée miraculeuse pour guérir les engorgements lymphatiques, ainsi que les problèmes de vue.
Le lavoir de forme d’atrium romain, construit en 1884, est alimenté par une pompe à chapelet.
Le puits des Richoux date du XVIIème siècle, il a une profondeur de 34 mètres.
Dans le hameau de Villeniard, on trouve le château qui était, à l’origine, un imposant pavillon de chasse. En 1860, il devient la propriété du comte Paul de Ségur et de son épouse Amélie Greffuhle, déjà propriétaires du château de Lorrez-le-Bocage. Certaines toiles d’Amélie Greffuhle sont toujours au château, elles sont reconnaissables par une petite coccinelle dessinée près de sa signature. Aujourd’hui, l’endroit est devenu une maison de retraite.
L’église dédiée à Saint-Gengoult, a certainement été reconstruite au XVIIème siècle sur les ruines d’une église plus vaste. Cependant, son clocher en bulbe présente une architecture inhabituelle pour la région. On y trouve, entre autre, un plâtre du XIXème siècle représentant Saint-Martin à cheval.
La fontaine Saint-Gengoult date de 1618. Elle est réputée miraculeuse pour guérir les engorgements lymphatiques, ainsi que les problèmes de vue.
Le lavoir de forme d’atrium romain, construit en 1884, est alimenté par une pompe à chapelet.
Le puits des Richoux date du XVIIème siècle, il a une profondeur de 34 mètres.
Dans le hameau de Villeniard, on trouve le château qui était, à l’origine, un imposant pavillon de chasse. En 1860, il devient la propriété du comte Paul de Ségur et de son épouse Amélie Greffuhle, déjà propriétaires du château de Lorrez-le-Bocage. Certaines toiles d’Amélie Greffuhle sont toujours au château, elles sont reconnaissables par une petite coccinelle dessinée près de sa signature. Aujourd’hui, l’endroit est devenu une maison de retraite.
Tarifs et ouverture
Tarifs Accès libre.
Ouverture Toute l'année, tous les jours.
